Reine rouge, par Juan Gomez Jurado
Antonia Scott est spéciale. Très spéciale.
Elle n’est ni flic ni criminologue. Elle n’a jamais porté d’arme ni d’insigne, et pourtant, elle a résolu des dizaines d’affaires criminelles. Avant de tout arrêter. Depuis un tragique accident, Antonia se terre dans un appartement vide et n’aspire qu’à une chose : qu’on lui fiche la paix.
C’était sans compter l’inspecteur Jon Gutiérrez. Missionné pour lui faire reprendre du service, il parvient à la convaincre d’étudier un dernier dossier, celui d’un assassin sans scrupules qui s’en prend aux héritiers des plus grandes fortunes d’Espagne. Sa particularité ? L’homme ne semble motivé ni par l’appât du gain, ni par le plaisir de tuer.
Un cas complexe auquel la police madrilène n’entend rien.
En un mot, le terrain de jeu favori d’Antonia Scott.
Une enquête sous haute tension à découvrir dans ce roman policier unique en son genre.
Un cadeau d’anniversaire de mon beau frère et de ma belle soeur : la trilogie de Gomez Jurado : Reine rouge, Louve noire, Roi blanc. 1050 pages !
Le soir même je l’ai commencé. Pendant deux jours je n’ai rien fait de ma vie, si ce n’est lire, lire, lire ! Et en moins de 48 heures, la reine rouge était pliée.
Pas moyen de le lâcher. Et pourtant, je n’ai pas trop aimé la fin, à laquelle on ne croit pas du tout. Too much comme on dit. Mais bon, à héros exceptionnels, fin exceptionnelle… Un héros normal ne s’en serait pas sorti. Elle, s’en tire avec quelques égratignures mais ça aurait pu être pire.
Son acolyte, assez atypique aussi, est par contre mon préféré.
Je les ai déjà retrouvés dans la louve noire, mais hélas Pierre Lemaitre est passé en priorité et a considérablement ralenti la lecture de ce deuxième tome !