Le jour des cendres, par Jean-Christophe Grangé
Dans un monde de pure innocence, quel peut être le mobile d’un tueur ? Dans une communauté sans péché, comment le sang peut-il couler ? À moins qu’à l’inverse… Le coupable soit le seul innocent de la communauté.
Une nouvelle enquête du commissaire Niemans des Rivières pourpres.
Honnêtement, en commençant ce bouquin, je me suis dit : J’ai déjà lu ce truc. Et puis non, en fait, j’avais déjà VU ce truc parce que c’était le deuxième épisode de la première saison des Rivières Pourpres diffusé sur la deux il y a trois ou quatre ans.
Alors, mes souvenirs plus ou moins nets en tête, je me suis lancé dans la lecture et j’ai adoré. J’ai aimé la façon d’écrire, les descriptions, les paysages, l’intrigue, la manière d’aboutir à une fin qu’on devine petit à petit. Bref, j’ai lu ces 560 pages en 4 soirs et ça a été un bon moment.
Avec le bonheur de comprendre en fait ce que dit Niemans. Parce que dans la série télé, c’est Olivier Marchal qui joue le commissaire et il a la sale manie de ne pas ouvrir la bouche, ce qui fait qu’on ne comprend pas la moitié de ce qu’il dit.
Et une fois la lecture terminée, je me suis permis de revoir la série télévisée. Le film est relativement fidèle au bouquin. Mes souvenirs étaient bons.
Sauf que…
- La belle gendarmette au décolleté avantageux du bouquin est remplacée par un gendarme beaucoup moins attirant (du moins pour moi),
- Il y a un mort de moins dans la série que dans le bouquin,
- La fliquette ne se sort pas de la même façon du piège qui lui est tendu. Mais elle s’en sort quand même, rassurez vous !
- Et puis dans le film, il y a Marchal, donc faut mettre les sous-titres !!