La forêt des Mânes, par Jean-Christophe Grangé

Jeanne Korowa n’a fait qu’une erreur. Elle cherchait le tueur dans la forêt. C’était la forêt qui était dans le tueur. Comme l’enfant sauvage au fond de l’homme.

Quand on lit ce qui est écrit ci-dessus, on se dit « Mais non… » et puis en fait Oui.

Là, il y a des morts. Plein. Et en mauvais état, je vous garantis. Bon appétit, si j’ose dire ! Je n’en dis pas plus.

Une belle Juge d’instruction parisienne qui se lance à corps perdu dans une enquête qui n’est pas la sienne. Un psychiatre qu’elle fait surveiller par hasard, ou par intérêt, et qui reçoit des patients pour le moins curieux et qui ont, comme par hasard, un rapport avec les meurtres en cours… C’est là le point faible du bouquin à mon avis. La coïncidence est vraiment trop grosse. après, une fois qu’on a avalé cette couleuvre, le reste coule tout seul et je me suis laissé porter par cette enquête plutôt macabre, c’est le moins qu’on puisse dire !

Attention au décalage horaire mes amis, car vous n’allez pas rester dans les beaux quartiers parisiens du début du bouquin. Vos passeports ont intérêt à être à jour parce que vous allez voyager. Et loin, et beaucoup. Jusque dans la forêt des Mânes. Vous savez, celle qui est dans le tueur !!!

Un bon bouquin encore !

avec la promo, j’ai acheté 4 Grangé en fait, mais je fais une petite pause avant d’attaquer le Serment des Limbes !