L’appel, par Julia Salvador
David Liszt, enquêteur à la Criminelle, ne croit pas aux miracles. Pourtant, c’est justement d’un miracle dont il a le plus besoin.
À 34 ans, il vient d’apprendre qu’il est atteint d’une tumeur cérébrale qu’aucun chirurgien ne veut opérer.
Lorsqu’il commence à entendre des voix, il pense qu’il s’agit d’un énième symptôme provoqué par sa tumeur.
Mais alors qu’il s’apprête à commettre l’irréparable, décidé à faire ses adieux au monde, une voix surgie de son passé interrompt son geste : la voix de Léa, son premier amour de jeunesse…
Une hallucination auditive ou bien l’appel à l’aide de la seule femme qu’il n’ait jamais aimée ?
Autant j’ai aimé le médium, autant je n’ai pas aimé celui-ci au point que j’ai abandonné à la moitié.
La première partie consacrée à David passe encore, petite intrigue, on prend le personnage en amitié du fait de sa maladie.
Mais la deuxième partie est carrément fleur bleue. Tout est improbable. Le retour dans une maison vide depuis des années dont le code d’accès n’à pas changé. Évidemment il y a toujours de l’électricité et évidement le type auquel elle pense débarque deux jours après son arrivée.
La troisième partie ? Je ne sais pas. Le premier droit du lecteur étant de ne pas lire, je l’ai appliqué pour moi-même.
Après avoir passé des paragraphes, puis des pages, puis un chapitre entier, j’ai préféré renoncer.
Dommage, j’avais adoré le médium. Mais dans celui là il se passait quelque chose…